BMW M4 CSL : Lignée mythique, performances stratosphériques
Un blason évocateur pour la BMW M4
CSL. 3 lettres légendaires dans la nomenclature BMW. Signifiant « Coupé Sport Leichtbau » (léger dans la langue de Molière), et introduite dans le courant des années 70 avec la mythique 3.0 CSL, cette appellation désigne les déclinaisons les plus radicales des sportives BMW. Dévoilée au concours d’élégance de la Villa d’Este, la dernière M4 CSL célèbre le 50ème anniversaire de BMW M GmbH.
Basée sur la M4 Competition Coupé, et limitée à 1.000 exemplaires, la M4 CSL voit grand. Très grand. Le 6 cylindres en ligne 3.0 L culmine désormais à 550 ch (40 ch de plus que la M4 Competition Coupé, déjà très expressive), tandis que son poids est en baisse de 100 kg, à 1.625 kg.
On dit merci les sièges baquets exclusifs M Carbon (-24 kg par rapport aux sièges de la M4 Competition Coupé), la suppression de la banquette arrière, ou encore les insonorisants plus light. A l’extérieur, la M4 subit également une cure d’amaigrissement : capot et coffre en plastique renforcé de fibres de carbone (CFRP), jantes en alliage léger…
Des performances stratosphériques
Les performances sont dignes des meilleurs supercars : 0 à 100 km/h en 3,7 secs (et seulement 10,7 secs pour le 0 à 200), et un temps sur le Norschleife qui explose à peu-près tout ce qui roule : 7 min et 15,677 sec (sur le tracé de 20,6 kilomètres). La M4 CSL est la BMW de série la plus rapide sur l’Enfer Vert !
Point de transmission xDrive pour la M4 CSL : elle envoi sa puissance aux seules roues arrières. BMW annonce une sonorité spécifique, avec un silencieux en titane à commande électrique.
Evidemment, les liaisons au sol sont encore plus affutées, avec une hauteur de caisse abaissée de 8 mm, et des ressorts/ jambes de force spécifiques. Le freinage est quant à lui assuré par des freins en Carbone Céramiques M.
29 exemplaires sont prévus pour le marché Français, à un tarif unitaire de 178.000 Euros. 29 excellentes raisons de considérer que la passion automobile n’est pas morte, et qu’il est encore permis de rêver.
