Essais

Fiat 124 Spider : le retour de la Dolce Vita

La vie à bord

Avant même de mettre en route le 4 cylindres, la première chose à faire, surtout sous le magnifique soleil de Biarritz, c’est de décapoter. Le système est infiniment simple et autorise un décapotage en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire ! Un simple crochet verrouille la toile qui ensuite par une seule impulsion est reléguée à l’arrière avec l’assistance d’un ressort. Ce système a l’avantage de prendre très peu de place au coffre arrière contrairement aux capotes rigides. Il ne reste malgré tout que 150 litres, juste de quoi pouvoir embarquer deux petites valises et quelques sacs le temps d’un week-end.Fiat_124_Spider_2016 (26)  Fiat_124_Spider_2016 (34)

La planche de bord est identique à la Mazda, jusqu’au GPS tactile de 7 pouces. L’instrumentation est sobre et claire, manque juste un peu de couleur à mon gout au niveau de l’afficheur (même pas de barrettes rouge pour la zone rouge !)Fiat_124_Spider_2016 (28)

Bien installé au ras du sol dans les magnifiques sièges en cuir marron de notre modèle d’essai avec appui-tête intégré, le petit volant ainsi que le levier de vitesse tombe parfaitement sous la main. A noter un recul de siège assez limité, il sera très difficile à des grands gabarits de trouver une bonne position.Fiat_124_Spider_2016 (10)

Autre points négatifs, les rangements se font chiche à bord. Difficile de poser son téléphone ou autres clés de maison, aucune boîte à gants devant le siège, ni même dans les flancs des portes n’est disponible. Seul un coffre fermable à clés, assez pratique du reste, prend place à l’arrière entre les 2 sièges.Fiat_124_Spider_2016 (11)

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