Essai Jeep Renegade : rebelle, et fier de l’être!
Présentation
Une Jeep, c’est d’abord une calandre reconnaissable entre toutes. Le « Baby Jeep » ne déroge pas à la règle, en reprenant le thème esthétique cher à la marque, avec une calandre à sept fentes verticales, entouré de deux phares ronds.
Mais il ne s’arrête pas en si bon chemin : arches de roues trapézoïdales, pare-brise droit, feux arrière reprenant le motif en croix du réservoir de la Willys de 1941 sont autant d’éléments distinctifs qui « signent » ce Renegade, qui revendique haut et fort ses origines. Chez Blog-Moteur, on est fan!
S’il ne s’interdit pas quelques coquetteries, ce Renegade dispose de boucliers non peints en position basse, qui lui permettent de s’aventurer hors des sentiers battus, sans craindre les éraflures. Le pare-choc arrière s’offre même un ski de protection.
Avec des passages de roues puissants, des lignes tendues et robustes, et une ceinture de caisse remontant très haut, le Renegade ne devrait pas peiner à séduire la « fameuse » clientèle des aventuriers urbains, sensible à l’image de liberté qu’incarne le constructeur.
L’intérieur du Renegade n’est pas en reste, et surfe également sur cette vague « néo-rétro ». Les designers ont ainsi disséminé au sein de l’habitacle de nombreux clins d’oeil à la Willys. Autant d’Easter Egg (oeufs de Pâques en Français) que nous nous sommes amusés à rechercher. En voilà un bref aperçu :
La finition, sans atteindre des sommets, offre toutefois une qualité perçue tout à fait correcte, très loin de la rusticité d’un Wrangler par exemple.
Au centre de la planche de bord figure le grand écran tactile du système Uconnect de 6,5 pouces, qui offre une navigation fluide, et une interface agréable. On apprécie également le volant chauffant, bien appréciable pour se réchauffer les mains après une séance photo glaciale.