Nanoflowcell Quant-e Sportlimousine, kezako ?

Quid de la Nanoflowcell Quant-e Sportlimousine

Présenté sous la forme d’un concept lors du dernier salon de Genève, l’entreprise Liechtensteinoise (à vos souhaits) avait créé la sensation avec ce modèle électrique aux performances de supercar. Outre ses performances, cette voiture a une particularité peu commune puisque son système de batteries et de piles à combustible fonctionne à l’eau salée.

Après avoir obtenu l’homologation d’arpenter les routes européennes, il ne reste plus qu’à l’entreprise Nanoflowcell de produire sa voiture. Une production qui va surement démarrer en petite série puisque le tarif de l’auto devrait être exorbitant, bien au-dessus de la Tesla Model S que l’on a dans un premier temps désignée comme sa principale concurrente.

Esthétiquement, la voiture est plutôt réussie, le design est futuriste, les lignes pures et racées et le tout est assez homogène. A l’intérieur même son de cloche avec un design unique et une planche de bord particulière puisque celle-ci ne fait qu’un seul bloc avec tous les autres éléments de l’habitacle. Les illustrations de nuit nous montrent que l’intérieur change totalement en fonction de la luminosité extérieure.

Les performances sont aussi au rendez-vous, même si l’homologation européenne oblige l’entreprise à limiter la v-max à 300 km/h. Nanoflowcell annonce une vitesse de pointe de 380 km/h avec une autonomie comprise entre 400 et 600 km et là aussi l’Europe se montre plus septique en plafonnant l’autonomie à 300 km.

Le projet est intéressant, maintenant reste à savoir si ce véhicule va trouver sa -riche- clientèle et surtout si les performances annoncées seront au rendez-vous. Cela ouvrirait un nouveau chapitre dans le monde de l’automobile propre.

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